Waiheke Island

Comme ça fait un sacré bout de temps qu'on a rien posté, nous allons ce coup-ci vous en mettre plein les mirettes !

Nous sommes allés en ce beau weekend d'automne sur l'île de Waiheke. Située à 40 minutes de ferry boite du centre-ville, cette île fait partie des nombreuses îles du Hauraki Gulf.  Pour ce coup-ci, je ne vais pas commenter en détail chaque photos, parce que je rentre du taf, et que ça prend du temps !

Bon d'accord, je ne rentre pas du boulot à l'instant, je suis rentré à 4h20 parce que j'avais des trucs à faire. Au boulot, hein, sinon je serai rentré à l'heure, à 16h :-D

Bref, revenons à nos sheeps.

Le port déjà entrevu dans d'autres postes

Le ferry building d'où partent les ferrys. Le monde est bien fait.

Les ferrys au stands. Ils font chauffer les pneus.

"Sur le pont supérieur, la vue est meilleure." Proverbe de la mer Kiwi.

Alors que le vaisseau s'élance à l'assaut de la mer déchaînée, la foule crie et pleure. 

Nous arrivons en vue de Devonport, pour y chercher nos mates qui viennent se balader avec nous.

Notre ville s'éloigne à mesure que nous progressons dans l'océan.

Les îles du golfe sont souvent des anciens volcans.

Sans être un hors bord, le ferry envoie quand même la patate. 

Le ferry zigzag entre les îles.

Certaines n'ont presque pas de bâtiments.


Et v'la qu'on arrive ! Les premières côtes de l'île.

Nos mates sont happys d'y arriver. Par soucis de confidentialité, nous ne dévoilerons pas les prénoms de Lise et Will.

Les habitants de Waiheke n'ayant pas la possibilité de prendre la route ou le train pour aller en ville, nombreux sont les habitants à avoir un boat.

Le port est au fond d'une crique bien calme.

Nous voilà en route pour une marche de 2 à 3h selon le manifest(ant). 4h30 selon la police.

Après un petit passage dans le bush, comme dit George, le chemin nous amène à la plage d'Oneroa.

Celle-ci est bien tranquille, pleine de coquilles et de sable.

Un coquillage typique de la plage. Il fait 10cm de long.

Nous.

Je fais une pause dans les commentaires.

...

On peut faire le tour de toute l'île.

Une fleur.

La plage, vue par l'est.

Le chemin du bord de mer.

Aussi appelé Coastline Track.

Un banc public.

L'île produit entre autres du vin et des olives.

Spectacular scenery.

Alors que l'on avance dans notre boucle, le chemin passe au bord du gouffre.

La végétation y est touffue.

Les girls.

Certaines côtes sont inaccessibles.

On ne dirait pas mais le chemin descend fortement.

Passe au bord de mini-plages.

On peut accéder aux falaises, ici il n'y a pas de barrières.

Une plage de sable pas fin.

L'île est parsemée de criques.

Bon là c'est la même qu'au dessus. Mais quand même.

Jump au dessus d'un cours d'eau. Les filles ont contourné.

Retour dans le bush.

Après plusieurs heures de marche, le jour décline petit à petit.

En face du mini-golfe (elle est pas mal celle là, je la note), une maison perchée sur sa presqu’île.

Le chemin devient périlleux. Et encore c'est piece of cake par rapport à ce qui va suivre.

Encore une fois, il n'y a pas de barrière. Ceux qui tombent sont retrouvés 20m plus bas, façon puzzle.

Mais c'est ça qui est cool.

Les propriété au bord de l'eau sont énormes. Là deux bicoques avec jardin d'olivier, piscine, 250 chambres au bas mot.

Et en face de ces maisons, l'océan...

Le bush laisse place à une prairie top-classe.

Le ferry de 4h a décidé de partir sans nous, donc on prendra le prochain.

Tout au fond, dans la brume, on aperçoit Auckland avec la Sky Tower qui dépasse.

Le soleil, aussi crevé que nous par la balade va se pieuter doucement.

Mais il fait encore assez jour pour voir le chemin.

Alors que nous sommes presque arrivés à bon port...

Premier avertissement, un petit glissement de terrain a emporté une dizaine de mètres du chemin. Il faut donc s'agripper autant que possible pour escalader le mur de boue.

Un peu plus loin, un autre glissement a scalpé la côte. Ce coup-ci c'est raide, boueux et il y a peu de prises.

Mais tout le monde s'en sort, sans bleus mais avec des traces de boue sur les fringues.

La fleur étrange indique qu'on a retrouvé le port.

Et nos chaussures sont crades.

Bien crades.

Nous arrivâmes juste à temps pour admirer le rougeoiement du soleil qui se planque derrière l'occident (c'est beau ça). 

Alors que la nuit s'installe, le fantôme de l'île inhabité de Rangitoto nous montre le chemin de la ville.

Bon vous avez du bol, j'ai mis des légendes sur toutes les photos !

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